mercredi 22 février 2017
mardi 21 février 2017
LE MINSTRE DE L'HYDRAULIQUE ET DE L'ASSAINISSEMENT DRESSE UN BILAN POSITIF
Le ministre de l’hydraulique et
de l’assainissement Mansour Faye a exposé hier la situation globale du secteur
à la presse. Faisant le bilan de ses réalisations et projets, il a confié que
« le bilan est tout à fait positive ». Cela se justifie selon le
ministre, d’abord par « une dynamique favorable notée dans l’amélioration
de l’accès au service d’eau potable, avec un taux d’accès global de 87,2℅ au 31
décembre 2015, contre 86,6℅ en 2014. En attestent les populations qui, de moins
en moins manifestent pour des ᵌraisons de manque d’eau ou de forage. Et cela est
valable aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. C’est pourquoi, Le Sénégal
a pu atteindre l’Omd relatif à l’accès à l’eau potable ». En matière
d’hydraulique urbaine, « les performances restent satisfaisantes, avec un
taux d’accès global de 98℅ à l’échelle du périmètre affermé. Le sous-secteur de
l’hydraulique urbaine a enregistré des performances sans précédent. A titre
comparatif, le sous-secteur n’a pu mobiliser que 276 milliards d’investissement
entre 1995 et 2012 alors que nous en sommes à plus de 400 milliards de FCFA
entre 2012 et aujourd’hui » explique le ministre. Le taux d’accès global à
l’hydraulique rurale est par contre de l’ordre de 82℅ mais la réalisation en
cours d’une centaine de systèmes d’adduction d’eau, sur financement des
partenaires techniques, devrait fortement améliorer la desserte en matière
d’hydraulique rurale. toujours dans le même sillage, Mansour Faye a fait part
d’une phase d’accélération qui sera entamée en 2017 avec le projet de
réalisation de 251 forages et 181 châteaux d’eau et réseaux de même que
l’introduction progressive des délégations de services publics d’eau potable en
milieu rural.
mercredi 15 février 2017
mardi 14 février 2017
La Sonatel Baisse ses tarifs de l’internet
A compter aujourd’hui, Sonatel
pose son acte1, dans la stratégie « Sénégal numérique 2025» par une
baisse moyenne des tarifs de l’internet entre 15 et 20℅. Selon Abdou Karim
Mbengue Directeur de la communication institutionnelle et des relations
extérieurs de la Sonatel, ce projet numérique de l’état du Sénégal, permettra
l’accès du plus grand nombre à un internet plus abordable et de meilleure
qualité. Ainsi, Sonatel va, « à travers cet accompagnement, contribuer à
réaliser l’Ambition définie dans celle-ci de hisser le Sénégal parmi les 5
premiers pays africains les mieux connectés »fait-il savoir. Aujourd’hui,
dans le but de rendre accessible l’internet à tous ses clients et connecter
tout le Sénégal au haut débit et à moindre cout, « le groupe Sonatel a
consenti des investissements importants à travers le déploiement d’un programme
de modernisation et d’extension du réseau technique et des systèmes
d’information sur tout le territoire. Ainsi, 140 milliards de francs CFA ont
été investis entre 2015 et 2015 au Sénégal. Ces investissements ont permis de
construire le meilleur réseau numérique de notre pays en termes de couverture
et d’expérience client »confie M. Mbengue. Outre ces actes posés, Sonatel
compte renforcer son œuvre en assumant son rôle de leader dans la sous-région.
Ainsi elle compte participer au désenclavement numérique de l’Afrique de
l’Ouest en augmentant la taille de son réseau. « en 2017, près de 80
milliards de francs CFA seront investis pour renforcer et améliorer la
disponibilité du service à travers le pays avec un accompagnement des grands
projets de l’Etat ».
mercredi 8 février 2017
« Grâce au Cir le Sénégal a multiplié par 3 ses exportations »
Le ministre du commerce, Alioune Sarr a procédé hier à l’ouverture de la phase deux du Cadre Intégré Renforcé, Cir. Saluant le thème de cette 2ème phase qui vise à « Renforcer le développement commercial inclusif et durable pour les Pma », le ministre a soutenu que le Cir, « reste le seul cadre global d’appui au développement au commerce des Pma ». Ainsi, grâce à son appuie, les exportations du Sénégal sont multiplié par 3.
lundi 6 février 2017
Le Sénégal à la recherche de mesures efficaces pour éradiquer les émissions de mercure
Dans le but de protéger la santé
humaine et l’environnement contre les émissions et les rejets anthropogéniques
de mercure et de composés de mercure, le Sénégal vient de ratifier la
convention de Minamata. Pour faciliter la prise de décision politique et
stratégique et de hiérarchiser les domaines pour les interventions futures, les
acteurs ont procédé hier à l’élaboration du rapport sur « l’Evaluation
initiale de Minamata ».
mercredi 1 février 2017
Les acteurs se penchent à la recherche d’un arsenal de mécanisation agricole
« Transformer l’agriculture Ouest-Africaine par le développement de la mécanisation » est l’ambition que se fixent le gouvernement et la fondation Syngenta pour une agriculture durable. C’est en ce sens qu’ils comptent mettre en œuvre des stratégies de renforcement de mécanisation agricole en Afrique de l’Ouest, car selon les experts l’Afrique de l’ouest est en retards en matière de mécanisation.
« L’Afrique de l’ouest est en retard en matière de mécanisation agricole » c’est le constat fait par des experts nationaux et internationaux. Ces derniers se sont réunis à Dakar Hier pour réfléchir sur les voies et moyens de la promotion de la mécanisation agricole au Sénégal et en Afrique de l’ouest en général.
comme l'a dit massiré Sarr il sont au Cesti
je suis au #cesti avec le #fap2015 @yesssaloum6 @AminataaFaye @sandianefaye @Dondiaye
— Massire Sarr (@masslegrand) 1 février 2017
Au du thème : «la politique extérieure face aux mutations géopolitiques mondiales», les anciens ambassadeurs et les conseillers diplomatiques ont fait un état des lieux de la diplomatie sénégalaise qui selon eux, doit s’adapter aux nouveaux enjeux de notre temps. Pour Seydina Oumar Sy, ancien ministre des Affaires étrangères, la résolution de la crise post électorale en Gambie passe par la voie diplomatique. Mais, cette option ne doit faire oublier la possibilité de l’option militaire pour déloger l’ancien président Yayah Jammeh. « L’intervention militaire doit être la dernière option. Mais si on n’arrive pas à décanter la situation par des voies diplomatiques, il ne restera que cette issue. Il faut dire que le temps commence à être compté pour la diplomatie», déclare-t-il. Selon l’ancien diplomate, les positions prises par les chefs de la Cedeao pour l’installation d’Adama Barrow prennent entièrement en compte cette éventualité. «Le communiqué de la Cedeao est clair. La Cedeao fait de l’option d’un accord conciliant et pacifique entre le président Jammeh et Barrow une priorité. Toutefois, le document rend Yaya Jammeh responsable de tous incidents et violences pouvant entraver l’entrée en fonction d’Adama Barrow», soutient-il. Auparavant, l’ex patron de la diplomatie sénégalaise a appelé au renforcement de la politique de voisinage du Sénégal pour juguler les menaces sécuritaires. «Nous avons des voisins sympathiques mais compliqués. Nous devons mettre en place une politique du voisinage pour renforcer le dialogue et la coopération avec les pays limitrophes. On doit avoir de meilleures relations avec eux. Le succès de l’Omvs nous a permis d’éviter la guerre contre la Mauritanie en 1989 », déclare Seydina Oumar Sy. De son côté pour Ahmadou Lamine Touré, Président l’Union des conseillers des Affaires Etrangères du Sénégal, la diplomatie sénégalaise doit s’inscrire dans la continuité avec comme base les « cercles concentriques» initiés par Léopold Sedar Senghor. «Le Sénégal a une diplomatie de premier plan. Nous devons nous inscrire dans la constance avec comme base les cercles concentriques pour résister aux nombreux bouleversements. Une démarche qui devra aussi nous permettre de consolider notre environnement diplomatique face aux menaces», déclare-t-il. Saidou Nourou Ba, ancien ambassadeur en Algérie d’abonder dans le même sens. «Le Sénégal a assis les principes directeurs d’une politique extérieure basée sur le dialogue. La diplomatie la plus payante est celle de sa géographie. Nous devons continuer à travailler et se remette en cause pour défendre au mieux les intérêts de notre pays. Les débats et les prises de positions du gouvernement vont dans ce sens», martèle l’ancien diplomate.
Le temps de la diplomatie est compté
La crise post électorale qui secoue la Gambie doit avant tout aboutir à une solution pacifique. Hier lors du colloque de l’Union des conseillers des Affaires Etrangères du Sénégal (Ucaes), l’ancien ministre des Affaires étrangères a demandé aux chefs de l’Etat de la Cedeao de privilégier le dialogue sans toutefois écarter l’option militaire pour bouter Jammeh hors du pouvoir.
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