Le ministre de l’hydraulique et
de l’assainissement Mansour Faye a exposé hier la situation globale du secteur
à la presse. Faisant le bilan de ses réalisations et projets, il a confié que
« le bilan est tout à fait positive ». Cela se justifie selon le
ministre, d’abord par « une dynamique favorable notée dans l’amélioration
de l’accès au service d’eau potable, avec un taux d’accès global de 87,2℅ au 31
décembre 2015, contre 86,6℅ en 2014. En attestent les populations qui, de moins
en moins manifestent pour des ᵌraisons de manque d’eau ou de forage. Et cela est
valable aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. C’est pourquoi, Le Sénégal
a pu atteindre l’Omd relatif à l’accès à l’eau potable ». En matière
d’hydraulique urbaine, « les performances restent satisfaisantes, avec un
taux d’accès global de 98℅ à l’échelle du périmètre affermé. Le sous-secteur de
l’hydraulique urbaine a enregistré des performances sans précédent. A titre
comparatif, le sous-secteur n’a pu mobiliser que 276 milliards d’investissement
entre 1995 et 2012 alors que nous en sommes à plus de 400 milliards de FCFA
entre 2012 et aujourd’hui » explique le ministre. Le taux d’accès global à
l’hydraulique rurale est par contre de l’ordre de 82℅ mais la réalisation en
cours d’une centaine de systèmes d’adduction d’eau, sur financement des
partenaires techniques, devrait fortement améliorer la desserte en matière
d’hydraulique rurale. toujours dans le même sillage, Mansour Faye a fait part
d’une phase d’accélération qui sera entamée en 2017 avec le projet de
réalisation de 251 forages et 181 châteaux d’eau et réseaux de même que
l’introduction progressive des délégations de services publics d’eau potable en
milieu rural.
mardi 21 février 2017
LE MINSTRE DE L'HYDRAULIQUE ET DE L'ASSAINISSEMENT DRESSE UN BILAN POSITIF
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