Elles étaient plus d’une centaine
toutes de blanc vêtues. Elles, ce sont les femmes de la 2ème coordination
de la Medina qui ont organisé hier une séance de récital de coran en faveur du
maire Bamba Fall et ses codétenus. « Nous sommes des femmes et des mères.
Bamba c’est notre fils, neveu et frère. Nous sommes également convaincus que
c’est un détenus politique, c’est pour cela que nous les femmes de Medina, en tant que fervente musulmanes avons
choisi de manifester notre colère par la voix spirituelle.
C’est pour ça que nous sommes venu à la maison de ‘’Mame Abdou Aziz pour prier le bon Dieu et lui confier le destin de notre frère et maire Bamba Fall. Car nous n’avons confiance qu’au tout puissant. Nous avons donc confiance qu’il sera lavé de ses accusations et qu’il nous reviendra sain et sauf dans de courtes durée »dixit-Ngoné Ndiaye présidente des femmes socialiste de la Medina.
C’est pour ça que nous sommes venu à la maison de ‘’Mame Abdou Aziz pour prier le bon Dieu et lui confier le destin de notre frère et maire Bamba Fall. Car nous n’avons confiance qu’au tout puissant. Nous avons donc confiance qu’il sera lavé de ses accusations et qu’il nous reviendra sain et sauf dans de courtes durée »dixit-Ngoné Ndiaye présidente des femmes socialiste de la Medina.
Abondant le même sens, Aissatou
Atie conseillère municipale à la mairie de Medina d’ajouter, « nous sommes
tous réunis pour implorer le bon Dieu la liberté de notre maire. Car le
musulman n’a rien de mieux que les prières.
Nous ne manifestions pas et nous ne choisissons pas la violence car
Bamba n’est pas une personne violente. Il a beaucoup fait pour nous, notre
commune a besoin de lui C’est pourquoi nous voulons œuvrer dans la paix pour
qu’ils soient libérés».
Ont pris part à cette rencontre,
des imams, des conseillers municipaux et différents partis politiques. Tous se
unies pour prier afin que leur maire et ces compagnons recouvrent leurs libertés.
Le récital coran terminé, cap à la maison de Mame Abdou Aziz pour recueillir
d’autres prières. Pour l’heure, ces femmes ne comptent pas s’arrêter si bon
chemin car elles comptent remettre ça, toutes les semaines jusqu’à la
libération de leur édile.
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