vendredi 25 août 2017

Expulsion contre extradition – Assane Diouf sauva sa peau

MALADIE DE DIOP FALL

La maladie du comédien Diop Fall a fait réagir plus d’un Sénégalais. Artiste de grand talent, il a participé à redonner le sourire à certains qui l’avaient perdu et tenu en haleine des jeûneurs durant tout le mois béni de ramadan. Aujourd’hui à l’hôpital pour raison de maladie, il faut signaler que quelques jours avant, il s’était fracturé alors qu’il était au domicile de son ami Saneex, aux Parcelles Assainies lors d’un tournage.
Conduit pour se faire ausculter, ses deux amis que sont Cheikh Ndiaye allias Jojo et Saneex lui ont rendu visite «les mains vides». Ce qui est diversement interprété surtout qu’au Sénégal, une tradition «térangiste» veut que l’on «s’arme» de fruits ou de quelques billets de banque à offrir à la personne malade.
Même s’il est apparu dans une vidéo pour laisser entendre qu’il se sentait assez bien, le comédien Diop Fall doit faire pas moins de dix séances de dialyses et actuellement, il parle assez difficilement
SOURCE ACTUNET

Kemi Seba

Kemi Seba:”Je savais qu’en effectuant cet acte purement symbolique, la BCEAO (Banque Centrale des États d’Afrique de l’Ouest), sans doute sur commande de la BANQUE DE FRANCE, engagerait une procédure visant à me mettre en prison. Je le savais, et je suis prêt à en payer le prix du PLUS PROFOND DE MON ÂME.
Bien que chroniqueur géopolitique TV sur VoxAfrica, je suis LOIN d’être riche, et en brûlant ce billet, je savais aussi que je privais mes proches ainsi que moi même de ce que j’aurais pu acheter avec ce dernier.
Je tiens à préciser que j’ai agi SeulL, et que le frère qui m’a passé le briquet, n’était pas au courant de mon projet de brûler le billet et donc, ne pourra être accusé de complicité. Personne sauf moi, ne savait que j’allais commettre ce acte.
Le Franc CFA est un scandale économico-politique d’ordre Colonial, qui tue notre peuple. Au nom de nos ancêtres, je ne peux pas me taire quand je vois les nôtres se faire dépouiller (aussi bien par l’oligarchie française que par nos élites africaines qui trahissent leur mission).
Si pour placer ce combat contre le Franc CFA au centre des débats (comme nous avons su le faire de manière historique cette année), je dois être privé de ma famille que j’aime éperdument, de mes frères et soeurs d’Urgences Panafricanistes, ou encore des nombreux frères et soeurs qui nous aiment, je le ferais sans hésiter. Car la souveraineté est le combat de notre génération. Et elle mérite que l’on puisse se sacrifier pour elle.
Je précise que la BCEAO, plutôt que de vouloir me crucifier, aurait du être la 1ère à écouter les aspirations du peuple et à chercher à bannir le Franc Cfa. Au lieu de cela, elle cherche à faire incarcérer quelqu’un qui combat cette monnaie de gorille.”
https://soundcloud.com/senewebradio-1/seneweb-revue-de-prese-de-mamadou-mouhamed-ndiaye-de-ce-32-avril-2015
https://soundcloud.com/moustic-the-audio-agency/revue-de-presse-de-laudio-digital-1

village de Kabakoto

jeudi 24 août 2017

BRIGITTE MACRON

ÉLEVAGE DE MOUTON DE CASE POUR TABASKI

Contrairement à ce que l’on pense, l’élevage de moutons fait partie des secteurs les plus rentables à Dakar. Cependant, le manque d’espace et la cherté des aliments de bétail sont autant de contraintes qui découragent les éleveurs. Mamadou Dieng dit Ndiaye aime élever des moutons. Une tradition qu’il a héritée de son père. Menuisier de son état, cet homme, la quarantaine bien sonnée, élève des moutons depuis 20 ans. De père en fils, sa famille figure parmi les plus grands éleveurs de Dakar. Au quartier Fass Delorme, Mamadou dispose d’un grand atelier de menuiserie. En face de son lieu de travail, une tente est aménagée pour les besoins de « l’opération Tabaski ». Ici, on découvre des moutons de races différentes. « Les prix varient selon les lignées et les espèces ». Au milieu de ce troupeau, Mamadou se lance dans une course effrénée, pour séparer deux moutons qui s’écornent dans un des mangeoires dispersés çà et là. L’ordre rétabli, il se tourne vers « king », le plus jeune bélier du troupeau. La main sur le dos de l’animal, il le caresse avec tendresse. Un coup en avant et un en arrière, l’animal, très excité, fait vibrer tout son corps et fait tomber quelques poils. A côté de lui, une autre bête fait résonner la clochette attachée à son cou. Il laisse entendre un bruit aigu qui vient se mêler aux bêlements du troupeau. Cette chainette démarque l’animal des autres. Sur ses deux flans, des taches noires donnent un éclat à sa blancheur. L’animal est spécial et a de multiples facettes. C’est pourquoi le maître le traite avec une considération certaine. D’ailleurs, confie-t-il, «c’est le plus jeune de l’enclos, il est âgé de 1 an et demi et fait partie de la lignée, ‘’Machalah’’. C’est une race qui produit de gros moutons. C’est l’un des géniteurs de notre troupeau. En général, nous élevons des races métissées. D’ailleurs, c’est lui qui a fait cette année la campagne de publicité d’Orange Money, avec qui je collabore depuis 3 ans. C’est moi qui leur fournis en moutons dans le cadre de leurs jeux concours Tabaski », affirme le responsable de la ferme. Apparemment, ce troupeau est issu d’un élevage de prestige qu’on ne trouve qu’à Dakar. « Il s‘agit d’une race très calme, rustique et facilement manipulable. Le plus vieux a 3 ans. Et entre-temps, il permet de multiplier la race. Et les agneaux de très bonne qualité sont commercialisés à hauteur 5 millions ». Il souligne : « Je pratique l’élevage depuis des années, c’est une passion pour moi. De plus, j’y trouve mon compte. Grâce à ça, j’ai pu acheter un terrain que j’ai déjà construit». Très expérimenté dans ce métier, Mamadou est très exigeant sur le choix des espèces. « Je choisis mes moutons en fonction de leurs lignées ». D’ailleurs, il maîtrise bien ces lignées et renseigne qu’il y en a plusieurs. « Mais, dans mon enclos, on trouve les lignées docteur, Machalah, Algoor, Yekini et Assis-long. Cependant, les prix pour la Tabaski ne dépendent pas de ça. Mais plutôt de la taille et du poids. » Outre les lignées, il y a une variété, les ‘’Bali-balis’’. « Parce que qu’ils sont plus rentables », soutient-il. Quand les terrasses servent d’enclos Actuellement, Mamadou élève ses moutons sur une terrasse. Un local qu’il loue. Ce qui fait que ses voisins se plaignent souvent à cause du bruit que font les moutons pendant la nuit. Pour ce qui est de la propreté, Ndiaye a engagé depuis 5 ans un jeune qui s’occupe de nettoyer la case des moutons et de leur entretien. Très passionné par l’élevage, le menuiser avertit à ceux qui souhaitent se lancer dans le métier que « c’est très coûteux ». « Les aliments de bétail coutent très cher à Dakar. Et, cela nous cause beaucoup de problèmes. Surtout nous qui élevons beaucoup d’animaux. On est obligé d’acheter en gros. Parfois, je négocie avec un camionneur pour aller trouver du foin dans la campagne, pour avoir un stock en permanence ». Contrairement aux autres, M. Dieng ne souffre pas de vol de bétails. Car, il a très tôt pris ses dispositions en engageant un gardien qui veille sur son enclos. Encadré Autosuffisance en moutons d’ici à 2020 Faisant partie du Réseau des éleveurs du Sénégal, une association qui vise à atteindre l’autosuffisance en moutons d’ici à 2020, Mamadou suggère : « Nous, éleveurs du Sénégal, pouvons nous organiser pour mettre un terme à l’importation des moutons de la Mauritanie et du Mali. Nous avons plus de 50 associations issues des 14 régions du Sénégal. Le ministre de l’Élevage nous a déjà donné son accord de principe. Donc, ce samedi 19 août, nous allons tenir une assemblée générale au Cices pour décliner les objectifs. Nous avons déjà des partenaires qui s’activent dans la vente d’aliments de bétail. Pour ma part, je compte gérer le coté logistique ». Pour Mamadou Dieng, le Sénégal peut bien atteindre l’autosuffisance en moutons. « Il suffit juste de s’organiser. Nous avons des bergeries dans les campagnes. Si on les associe aux races dont nous disposons, ça facilitera le processus ». Mama Katherine DIOUF
Interpol demande à Washington le rapatriement d’Assane Diouf au Sénégal Assane Diouf Interpol Dakar a saisi Interpol Washington, en date du 21 août 2017, pour le rapatriement au Sénégal d’Assane Diouf. Selon Libération, le 21 août, le Bureau national d’Interpol sis à la Rue Carde a adressé un message flash au Bureau d’Interpol de Washington. Dans le message, Interpol Dakar informe Washington avoir appris que le citoyen sénégalais Assane Diouf était interpellé par les services de l’immigration américaine et détenu à Chicago. Aussi, Interpol Dakar révèle que notre compatriote Assane Diouf fait l’objet d’une enquête criminelle au Sénégal après avoir appelé dans une vidéo à soutenir la cause de l’Imam Alioune Ndao, détenu pour des faits de terrorisme avant d’annoncer la mobilisation de fonds pour les mettre à sa disposition. Aussi, Interpol Dakar précise avoir ouvert une enquête pour des faits d’apologie du terrorisme et, par la même occasion, a demandé à Washington de procéder au rapatriement d’Assane Diouf au Sénégal, comme le veut la coopération policière.
https://youtu.be/ccoKKvmx4mw

Criminalité Faunique : 780 pièces d’Ivoire d’éléphant saisies

 « Le 22 août 2017, au marché artisanal de Soumbedioune, s’est déployée une importante équipe d’éléments de police du Commissaire Dramé de la Sureté Urbaine, en collaboration avec les agents de la Direction des Eaux et Forêt et du projet WARA-SALF. Ensemble, ils ont procédé à deux (2) opérations d’arrestation simultanées de flagrant délit de détention, commercialisation illégale de faune sauvage. Le résultat ayant abouti à l’interpellation de deux présumés trafiquants et leurs complices pour trafic et commerce illégal international de contrebande d’ivoire d’éléph
ant, hippopotame, phacochère (403 pièces de phacochère) et dents de lion. Suite aux perquisitions des domiciles qui s’en sont suivies, les 5 interpellés ont été placés en garde à vue et les contrebandes saisies : 780 pièces d’ivoire d’éléphant soit 20kg ! Dont de l’ivoire brut, des dents d’hippopotames, des dents de lions, », renseigne, un communiqué parvenu à notre rédaction. Les 2 présumés trafiquants et leurs complices ont été placés en garde à vue dans les locaux du Commissariat Central et sont actuellement entendus. Si les infractions sont confirmées, les condamnations pourraient être très sévères, jusqu’à 1 an de prison ferme. Les mouvements terroristes sont devenus les pivots du trafic d’ivoire en Afrique Pour rappel, l’objectif de ces arrestations, est de donner un signal fort aux trafiquants de toutes nationalités, quant à la volonté de l’Etat sénégalais de mettre fin à ce commerce illégal pour assurer la survie des espèces et combattre le crime organisé. En effet, « L’ivoire et la corne de rhinocéros sont de

mardi 18 avril 2017

REGULATION DE LA PRESSE La société civile adhère au combat

Résultat de recherche d'images pour "coordination des association de presse du sénégal"Après les marabouts, la coordination des associations de presse a rencontré hier la société civile, pour revenir sur l’ensemble des maux dont souffre le secteur de la presse. Revenant sur la situation, Mamadou Ibra Kane, directeur d’Africom a fait savoir, « La presse au Sénégal est en danger, la liberté de la presse est en danger, la démocratie est en danger. Car nous nous fondons sur un environnement économique de faillite des entreprises de presse. Et à cause de cela la majorité des entreprises de presse sont en situation de faillite.  Elles ne payent pas leurs dettes, leurs charges et encore moins les salaires. Et ceux-ci ont toujours des incidences au niveau de l’environnement social des travailleurs des médias. Ce qui fait qu’actuellement beaucoup d’acteurs médiatique ne perçoivent pas de salaires ou bien les perçoivent avec des  arriérés.

dimanche 12 mars 2017

mercredi 1 mars 2017

MARDI GRAS A DAKAR

La communauté catholique a célébré hier, mardi 28 février, le Mardi Gras. Une date varie d’année en année, car elle est fixée par rapport à la date de Pâques. Cette fête tombe toujours un mardi et précède Pâques de 47 jours. C’est pour accueillir le carême que le Mardi Gras est fêté. Concernant ses origines, elles sont à la fois païennes et religieuses. Au Sénégal, les musulmans comme chrétiens, communient à cette fête qui marque la fin du temps ordinaire du calendrier liturgique. Des manifestations sont programmées dans plusieurs écoles à Dakar à savoir les Maternelles et les collèges. Un moment considéré aussi comme une période de défoulement.

Au Sénégal, les enfants se déguisent en différents personnages de la vie quotidienne notamment des prêtres, des imans, des femmes et des hommes gardiens des traditions, des femmes en robes de mariées, des acteurs de films, entre autres.

mardi 21 février 2017

LE MINSTRE DE L'HYDRAULIQUE ET DE L'ASSAINISSEMENT DRESSE UN BILAN POSITIF

Le ministre de l’hydraulique et de l’assainissement Mansour Faye a exposé hier la situation globale du secteur à la presse. Faisant le bilan de ses réalisations et projets, il a confié que « le bilan est tout à fait positive ». Cela se justifie selon le ministre, d’abord par « une dynamique favorable notée dans l’amélioration de l’accès au service d’eau potable, avec un taux d’accès global de 87,2℅ au 31 décembre 2015, contre 86,6℅ en 2014. En attestent les populations qui, de moins en moins manifestent pour des ᵌraisons de manque d’eau ou de forage. Et cela est valable aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. C’est pourquoi, Le Sénégal a pu atteindre l’Omd relatif à l’accès à l’eau potable ». En matière d’hydraulique urbaine, « les performances restent satisfaisantes, avec un taux d’accès global de 98℅ à l’échelle du périmètre affermé. Le sous-secteur de l’hydraulique urbaine a enregistré des performances sans précédent. A titre comparatif, le sous-secteur n’a pu mobiliser que 276 milliards d’investissement entre 1995 et 2012 alors que nous en sommes à plus de 400 milliards de FCFA entre 2012 et aujourd’hui » explique le ministre. Le taux d’accès global à l’hydraulique rurale est par contre de l’ordre de 82℅ mais la réalisation en cours d’une centaine de systèmes d’adduction d’eau, sur financement des partenaires techniques, devrait fortement améliorer la desserte en matière d’hydraulique rurale. toujours dans le même sillage, Mansour Faye a fait part d’une phase d’accélération qui sera entamée en 2017 avec le projet de réalisation de 251 forages et 181 châteaux d’eau et réseaux de même que l’introduction progressive des délégations de services publics d’eau potable en milieu rural.

mardi 14 février 2017

La Sonatel Baisse ses tarifs de l’internet





A compter aujourd’hui, Sonatel pose son acte1, dans la stratégie « Sénégal numérique 2025» par une baisse moyenne des tarifs de l’internet entre 15 et 20℅. Selon Abdou Karim Mbengue Directeur de la communication institutionnelle et des relations extérieurs de la Sonatel, ce projet numérique de l’état du Sénégal, permettra l’accès du plus grand nombre à un internet plus abordable et de meilleure qualité. Ainsi, Sonatel va, « à travers cet accompagnement, contribuer à réaliser l’Ambition définie dans celle-ci de hisser le Sénégal parmi les 5 premiers pays africains les mieux connectés »fait-il savoir. Aujourd’hui, dans le but de rendre accessible l’internet à tous ses clients et connecter tout le Sénégal au haut débit et à moindre cout, «  le groupe Sonatel a consenti des investissements importants à travers le déploiement d’un programme de modernisation et d’extension du réseau technique et des systèmes d’information sur tout le territoire. Ainsi, 140 milliards de francs CFA ont été investis entre 2015 et 2015 au Sénégal. Ces investissements ont permis de construire le meilleur réseau numérique de notre pays en termes de couverture et d’expérience client »confie M. Mbengue. Outre ces actes posés, Sonatel compte renforcer son œuvre en assumant son rôle de leader dans la sous-région. Ainsi elle compte participer au désenclavement numérique de l’Afrique de l’Ouest en augmentant la taille de son réseau. « en 2017, près de 80 milliards de francs CFA seront investis pour renforcer et améliorer la disponibilité du service à travers le pays avec un accompagnement des grands projets de l’Etat ».

mercredi 8 février 2017

New Album de viviane ndour

photo augmentee: Mariama Ba auteur

video: viviane no stress

« Grâce au Cir le Sénégal a multiplié par 3 ses exportations »


Le ministre du commerce, Alioune Sarr a procédé hier à l’ouverture de la phase deux du Cadre Intégré Renforcé, Cir.  Saluant le thème de cette 2ème phase qui vise à « Renforcer le développement commercial inclusif et durable pour les Pma », le ministre a soutenu que le Cir, « reste le seul cadre global d’appui au développement au commerce des Pma ». Ainsi, grâce à son appuie, les exportations du Sénégal sont multiplié par 3.

lundi 6 février 2017

Le Sénégal à la recherche de mesures efficaces pour éradiquer les émissions de mercure


Dans le but de protéger la santé humaine et l’environnement contre les émissions et les rejets anthropogéniques de mercure et de composés de mercure, le Sénégal vient de ratifier la convention de Minamata. Pour faciliter la prise de décision politique et stratégique et de hiérarchiser les domaines pour les interventions futures, les acteurs ont procédé hier à l’élaboration du rapport sur « l’Evaluation initiale de Minamata ».

mercredi 1 février 2017

Les acteurs se penchent à la recherche d’un arsenal de mécanisation agricole

« Transformer l’agriculture Ouest-Africaine par le développement de la mécanisation » est l’ambition que se fixent le gouvernement et la fondation Syngenta pour une agriculture durable. C’est en ce sens qu’ils comptent mettre en œuvre des stratégies de renforcement de mécanisation agricole en Afrique de l’Ouest, car selon les experts l’Afrique de l’ouest est en retards en matière de mécanisation. « L’Afrique de l’ouest est en retard en matière de mécanisation agricole » c’est le constat fait par des experts nationaux et internationaux. Ces derniers se sont réunis à Dakar Hier pour réfléchir sur les voies et moyens de la promotion de la mécanisation agricole au Sénégal et en Afrique de l’ouest en général. 
comme l'a dit massiré Sarr il sont au Cesti
Au du thème : «la politique extérieure face aux mutations géopolitiques mondiales», les anciens ambassadeurs et les conseillers diplomatiques  ont fait un état des lieux de la diplomatie sénégalaise  qui selon eux,  doit s’adapter aux nouveaux enjeux de notre temps. Pour Seydina Oumar Sy, ancien ministre des Affaires étrangères,  la résolution de la crise post électorale en Gambie passe par la voie diplomatique. Mais, cette option ne doit faire oublier la possibilité de l’option militaire pour déloger l’ancien président Yayah Jammeh. « L’intervention militaire doit être la dernière option. Mais si on n’arrive pas à décanter la situation par des voies diplomatiques, il ne restera  que cette  issue. Il faut dire que le temps commence à être  compté pour la diplomatie», déclare-t-il. Selon l’ancien diplomate, les positions prises par les chefs de la Cedeao pour l’installation d’Adama   Barrow prennent entièrement en  compte  cette éventualité. «Le communiqué de la Cedeao est clair. La Cedeao fait de l’option d’un accord conciliant et pacifique entre le président Jammeh et Barrow une priorité.  Toutefois, le document rend   Yaya Jammeh responsable  de tous incidents et violences pouvant entraver l’entrée en fonction d’Adama Barrow», soutient-il. Auparavant, l’ex patron de la diplomatie sénégalaise a appelé au renforcement de la politique de voisinage du Sénégal pour  juguler les menaces sécuritaires. «Nous avons des voisins sympathiques mais compliqués. Nous devons mettre en place une politique du voisinage pour renforcer le dialogue et la coopération avec les pays limitrophes. On doit avoir de meilleures relations avec eux.   Le succès de l’Omvs nous a permis d’éviter la guerre contre  la Mauritanie en 1989 », déclare Seydina Oumar Sy.  De son côté pour Ahmadou Lamine Touré, Président l’Union des conseillers des Affaires Etrangères du Sénégal, la diplomatie sénégalaise doit s’inscrire dans la  continuité avec  comme base les « cercles concentriques» initiés par  Léopold Sedar Senghor. «Le Sénégal a une diplomatie de premier plan. Nous devons nous inscrire dans la constance avec comme base  les cercles concentriques pour résister aux nombreux bouleversements. Une démarche qui devra aussi nous permettre de  consolider notre environnement diplomatique face aux menaces», déclare-t-il.  Saidou Nourou Ba,  ancien ambassadeur en Algérie d’abonder dans le même sens. «Le Sénégal a assis les principes  directeurs d’une politique extérieure basée sur le dialogue. La diplomatie la plus payante est celle de sa géographie.  Nous devons continuer à travailler et se remette en cause pour défendre au mieux les intérêts de notre pays. Les débats et les prises de positions du gouvernement  vont dans ce sens», martèle  l’ancien diplomate.

Le temps de la diplomatie est compté

La crise post électorale qui secoue la Gambie doit avant tout  aboutir à une solution pacifique.  Hier lors du colloque  de l’Union des conseillers des Affaires Etrangères du Sénégal (Ucaes), l’ancien ministre des Affaires étrangères a demandé aux chefs de l’Etat de la Cedeao  de privilégier  le dialogue sans toutefois écarter l’option militaire pour bouter Jammeh hors du pouvoir.

vendredi 27 janvier 2017

GROGNE DES ACTEURS DU TIC

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Les professionnels des technologies de l’information et de la communication, ne sont pas du tout content que le gouvernement ait confié le marché des cartes  d’identité biométriques de la Cedeao à la société Iris. « Nous dénonçons énergiquement l’octroi du marché des cartes d’identité à Iris » a déclaré M. Antoine Ngom hier lors de la conférence de presse de l’organisation des professionnels des technologies de l’information et de la communication (Optic).

perenisations des Tics,Les experts se penchent sur la question prochainement

Résultat de recherche d'images pour "les tic"faire du numérique, "vecteur de développement et d’intégration économique et social ", est l'ambition de l'organisation des professionnels des technologies de l’information et de la communication (Optic) .
c'est pourquoi, du 21 au 22 février 2017, Dakar abritera une rencontre internationale sur les Tic. Cette rencontre sera le salon international des professionnels de l’économie numérique (Sipen), et sera une plateforme d’échanges entre professionnels du secteur du numérique.

mercredi 25 janvier 2017

duo de viviane et philipe monteiro

son: revu de presse

VIDEO: MBATHIO FOND EN LARME EN PLEIN EMISSION

samedi dernière l'animatrice de l'émission confrontation Bijoux a encore poussé le bouchon haut. en effet, elle recevait la danseuse Mbatio actrice du nouveau single ''Thiopati''. mais au bout de l’émission bijoux à réussi à la faire pleurer en le bombardant de questions portant sur les images pornographiques qui faisaient le tour de la toile dernièrement.

Des étudiants se rangent derrière Khalifa pour face au pouvoir pour liberer leur alliés

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La coordination des élèves étudiants de l’Adk, est montée au créneau hier pour dénoncer avec la dernière énergie, les séries d’arrestations et d’intimidations dont sont victimes les proches de Khalifa Sall. Ils ont également profité de l’occasion pour répondre aux jeunes socialistes qui se sont pris à leur leader samedi dernier.

mercredi 18 janvier 2017

Les femmes de la Medina confie le dossier a ‘’Dieu’’.

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Elles étaient plus d’une centaine toutes de blanc vêtues. Elles, ce sont les femmes de la 2ème coordination de la Medina qui ont organisé hier une séance de récital de coran en faveur du maire Bamba Fall et ses codétenus. « Nous sommes des femmes et des mères. Bamba c’est notre fils, neveu et frère. Nous sommes également convaincus que c’est un détenus politique, c’est pour cela que nous les femmes de  Medina, en tant que fervente musulmanes avons choisi de manifester notre colère par la voix spirituelle.

Les laboratoires d’Afrique de l’ouest unissent leurs expertises



« Accroître l’accès à un diagnostic de qualité pour les personnes vulnérables en Afrique de l’Ouest », est entre autres l’objectif que se fixe RESAOLAB (Réseau d’Afrique de l’Ouest des Laboratoires d’Analyses Biologiques). Ce dernier est réseau novateur qui apporte un appui aux ministères de la santé et aux directions des laboratoires pour mettre en place des politiques nationales de développement  des laboratoires, de biologie clinique afin d’améliorer la qualité des prestations.  Le programme vise en outre à mettre en œuvre des plans d’action pour le renforcement des personnels de laboratoire, la qualité des analyses, la surveillance des maladies infectieuses et la mise en réseau des laboratoires au niveau national et régional. Resaolab à un champ d’action qui envisage de « développer la gouvernance, accroitre la formation, renforcer la qualité, appuyer la surveillance et mettre en réseau.  Dans le but de dresser l’état des lieux des réalisations de l’année 2016 et d’assurer coordination et gestion optimale du réseau, un d’ateliers conjoints entre RESAOLAB et le programme WARDS (West African Regional Disease Surveillance), se tient depuis hier. Cette réunion qui réunit de nombreux participants, permettra, « d’évoquer l’avancement de projets portant sur des sujets tels que la collecte et la remontée des données épidémiologiques pour renforcer la surveillance des maladies et accélérer la riposte aux épidémies, la formation, la collecte et le transport d’échantillons ou encore la résistance aux antimicrobiens qui constitue une menace croissante pour la santé publique » a confié M. le professeur Rahmad Yane sow . 

Cette réunion réunit 7 pays de l’Afrique de l’ouest à savoir « le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, bénin, la Guinée, le Niger et le Togo. Ces derniers se sont regroupés pour booster le secteur des laboratoires en mettant en commun leurs expertises. C’est un projet très important pour nous. Il a permis d’améliorer le secteur du laboratoire. Ce secteur est transversal et applique tous les domaines en médecine, et permet de détecter et de surveiller  les cas de maladies notamment les épidémies. Ainsi, nous avons compris qu’il est important de veiller au fonctionnement des laboratoires »souligne-M. Sow qui pense que la mise en place de ces laboratoire doit aller de pair avec des ressources humaines qualifiées. Pour cela, « il faut faire des sessions de formations continues avec plusieurs modules, afin d’améliorer les capacités des laborantins.  Nous avons aussi la possibilité d’instaurer la démarche qualité dans les laboratoires. Au Sénégal nous venons de terminer un audit qualité dans 100 laboratoires publics et privés et nous allons les accompagner avec les normes internationales »fait-il-savoir.

mercredi 11 janvier 2017

INSTALLATION D’ECOLE MILITAIRE ET PARAMILITAIRE AU CENTRE D’ADAPTATION DE SEBIKOTANE: Les éducateurs accusent le ministre de la justice de détournement d’objectif

La décision du ministre de la justice qui consiste à l’installation, au centre d’adaptation sociale de Sebikotane une formation militaire inquiète le syndicat National des travailleurs en éducation spécialisée de la justice du Sénégal (Syntesjustice). En conférence de presse hier, les membres du syndicat ont affiché leur indignation face à cette décision. Rappelant les faits, le secrétaire général du syndicat, Oumar Ndiaye, indique que « le ministre de la justice annonce qu’il a décidé le démarrage, au centre d’adaptation sociale de Sebikotane, au plus tard dans la deuxième quinzaine du mois de janvier 2017, la formation militaire et paramilitaire de 200 élèves admis aux concours directs et indirects de recrutement d’agents de l’administration pénitentiaire ».